Ma nouvelle prof...[Lyo/Plume]

J'étais allée me baigner dans l'eau cristalline du lac, tôt dans la journée. Ce qui était contraire à mes habitudes. L'eau était parfaite à vingt-huit degré, le soleil levant se reflétait avec ses quelques rayons orangée, qui donnait l'impression que le lac était en feu . Les arbres qui l'entouraient étaient immenses et joufflu, vert et touffus quelques oiseaux y chantaient leurs chants du matin, ce qui faisait une mélodie douce et savoureuse. Je grimpais sur leurs plus haute branche, pour admirer la magnifique vue sur le pensionnat qui étincelait dans la lumière du jour.

Plus je pensais à mes devoirs, qui était nombreux mais ennuyant, plus je voulais rester à l'air frais du lac de diamant. Je m'amusais à rester quelques centimètres au-dessus de l'eau, mon nez l’effleurait, mais de temps en temps je me lâchais dedans m'étouffant de rire et me rafraîchissant. Je m'allongeais sur le côté face au soleil flamboyant écoutant les oiseaux chantés, essayant tant bien que mal à bronzer. Les élèves de première année avaient eu beaucoup de poses, mais je restais souvent dans la cour donc j'avais décidé de profiter de celle-ci au maximum!

Je jouais avec les quelques grains sables qui se trouvaient ici et là en les versant dans mes mains puis en les faisant l'évitée. Je dessinais les oiseaux, enfin si on peut appeler cela dessinait, en leur donnant quelques grains, lorsque soudain il eut un léger bruit de branche craquait.

De surprise, je me cachais derrière un énorme rocher gris, j'osais à peine respirer. Je tortillais mes cheveux blonds dans ma main avec frénésie. J'hésitais réellement entre détalais dans la forêt ou la/le saluer, j'avais les pieds qui brûlaient comme deux braise à cause du soleil. Je pris une grande inspiration et un grand courage puis je relevais la tête pour voir, mais rien, le soleil me bloquait toute ma vue.

Finalement je n'étais pas la seule à vouloir profiter de mon temps de repos. Enfin je réussi à voir il me sembla des "cheveux", longs cela devait être une fille.

La sensation de cendre se rependit peu à peu dans tout mon corps, et j'eu la bouche moite. Alors que j'avançais discrètement et sens bruit je me glissais dans le lac chaleureux, je pris une grande inspiration et éclaboussai la fille sans aucune gêne. Je relevais la tête trempait et la fixa avec un immense sourire de ma réussite. Et demandais poliment et légèrement craintive.

-Comment allez-vous Madame ?

Toute en croisant les doigts, j’espérais vraiment qu'elle réagisse bien.